Amor(es) (ou da constância agónica)
Amor(es)
(ou da constância agónica)
Il y avait, au ghetto, une femme amoureuse. Celui qu'elle aimait fut blessé, gravement, ses organes s'échappaient. Elle les replaça de ses propres mains, le porta à l'hôpital. Il mourut. On le mit à la fosse commune, elle l'exhuma, lui donna une sépulture. (...) ce simple épisode est le comble de la vertu.
Raul Hilberg, In Shoah (Seconde épode, seconde partie), Claude Lanzmann.
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Publicado em 21 de Dezembro de 2003